PROGREM offre tous les types de polarisation provoquée avec les différents dispositifs permettant de détecter des anomalies jusqu’à des profondeurs dépassant les 500m.
Les minerais métalliques tels que les sulfures (par exemple, cuivre, zinc, plomb) ont des résistivités spécifiques qui diffèrent des roches environnantes.
Les variations de résistivité peuvent révéler la présence de fractures, de failles et de contacts lithologiques importants pour les dépôts de minerais.
L'or peut être associé à des zones de faible résistivité en raison de la présence de minéraux conducteurs comme les sulfures.
Les gisements de terres rares peuvent être associés à des zones de résistivité anormale en raison de la présence de minéraux spécifiques.
Les sulfures de nickel ont une conductivité élevée, ce qui permet de les distinguer des roches environnantes.
Le lithium se trouve souvent dans les pegmatites et les saumures salines, qui ont des caractéristiques de résistivité spécifiques.
La technique IP est particulièrement efficace pour détecter les minerais disséminés, comme les sulfures de cuivre, qui montrent une réponse IP notable.
Les gisements de métaux de base (cuivre, zinc, plomb) peuvent être détectés grâce à leur réponse IP distinctive.
Les altérations hydrothermales associées aux gisements de minéraux peuvent provoquer des variations dans les mesures de IP.
Le graphite, en raison de sa conductivité électrique, peut être efficacement détecté par la méthode IP.
Les minerais contenant du platine et du palladium peuvent montrer des réponses IP distinctives.
• Émetteurs : TIP 6000 (6000w, I fullwaver).
• Récepteurs : ELREC TERRA (v-fullwaver).
• Groupes électrogènes : 14 Kva
• Inversion 2D et 3D des Données de Résistivité et polarisation provoquée : Utilisation de
logiciels d'inversion pour créer des modèles 2D et 3D du sous-sols.
• Intégration des Données Géophysiques et Géologiques : des données de
résistivité et IP avec des données géologiques pour une interprétation plus précise.